mercredi 17 octobre 2012

LETTRE À L'ACADÉMIE DES SCIENCES


                                                                                 Académie des Sciences 
                                                                                 Comptes rendus 
                                                                                 23, quai de Conti 
                                                                                 75006 – PARIS

Objet : « Impasse de la relativité »
                                                                                  Nice le 1er juillet 2009
Attention J. VILLAIN
 
Cher Monsieur,

Je vous remercie de votre réponse du 23 juin dernier. 
Comme vous me le recommandez j’avais conduit, à maintes reprises, l’expérience principale décrite, dans mon essai ci-dessus (Impasse de la relativité), sous le terme de « seau d’eau de Newton » (page 113). Etonnement elle reproduit, à l’échelle d’une simple bassine d’eau percée, le mécanisme du système solaire (comme de n’importe quel système satellitaire, fut-il une galaxie. Mêmes figures spiralées). Grâce à des photos prises à intervalles réguliers on vérifie, en particulier, que les objets en sustentation se mettent en mouvement et que leur vitesse est bien celle de la 3ème loi de Kepler sur les vitesses différentielles d’un tel système (page 76). Ce qui ne saurait être une coïncidence.

Cette non coïncidence me parait prouver que l’Univers baigne dans un milieu fluide isotrope et comme tout fluide régis par les mêmes lois (exemple de l’eau). Si confronté à un effet de dépression du milieu (dans ce cas provoqué par de la matière baryonique, étoile ou planète, ou des trous noirs) on constate que ce milieu s’organise en tourbillons gravitationnels mettant en rotation les corps qui y sont immergés. C’est la gravitation orbitale. Et confronté à un noyau dense de matière ce fluide doit devenir anisotrope dans l’axe du noyau (voir page 102). C’est le second aspect de la gravitation (la gravité, calculée par Newton).

Tous deux trouvent ici une source d’explication commune, ce qui en augmente la force probante..

D’où je déduis, nécessairement, que c’est ce milieu fluide et pour le moment non détecté, qui est seul responsable de la gravitation* (les physiciens commencent de l’envisager sous les vocables de matière noire, énergie sombre, mais l’ancien « éther » conviendrait mieux). Ce milieu est, vraisemblablement, constitué de particules exotiques (neutrinos et neutralinos ?, voire des photons ?) dont la détection (pour les premiers) très difficile, est à la seule portée de la bourse d’un Etat (pas de la mienne, hélas !).
Ces recherches devraient prévaloir sur celles de l’improbable graviton et de sa peu vraisemblable onde gravitationnelle ! L’avis de l’Académie ne compte-t-il pas ?

Je suggère aussi des comparaisons de fréquences entre horloges atomiques, les unes placées aux pôles les autres à l’équateur (voir page 120). On devrait vérifier que la vitesse différentielle de rotation de la Terre entre le pôle et l’équateur affecte leurs fréquences. Ce qui mettra aussi à mal la notion de relativité du temps** tout en validant ce nouveau concept de la gravitation.***

Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments les plus distingués.

GBA 01.07.2009

* ainsi la preuve de l’existence de « l’éther » mettrait à mal la théorie de la relativité générale fondée sur le postulat contraire adopté par Einstein.
** une complète appréhension de la notion de « temps » fait défaut à la relativité restreinte 
*** voir « impasse de la relativité »
 

Lettre adressée au CERN (Genève), prof. Luciano Maiani

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire