jeudi 20 décembre 2012

VIVE LA WALLONIE FRANCAISE !


Après Bernard Arnault, Gérard Depardieu ! C’est l’exilé de trop. Il est temps que le gouvernement arrête l’hémorragie qui voit le meilleur du sang financier français se répandre dans cette petite monarchie. Qui plus est quand un ministre belge fait de la provocation. C’est un casus belli.
La France doit lancer un ultimatum à la Belgique pour exiger le retour du « poubelle boy » du cinéma français et empêcher le « riche c... de se casser ».
 
FRANCAIS PREPARONS-NOUS A ENVAHIR LA BELGIQUE ET L’ANNEXER A LA FRANCE !
 
Les conditions actuelles sont particulièrement favorables puisqu’une partie des Wallons veulent, eux-mêmes, être rattachés à la France. Il y a trop longtemps que l’Europe vit en paix ! C’est mauvais pour la reprise économique. Et si la Belgique ne suffit pas, annexons le Luxembourg et Monaco. Fi des traités, l’harmonisation fiscale à la pointe de baïonnettes ! Que les sans culottes qui nous gouvernent déclarent la mobilisation générale ! Vive la Wallonie française !

dimanche 16 décembre 2012

FIN DU MONDE OU FIN D’UN MONDE


On entend partout dire que le calendrier Maya (peuple féru d’astronomie et de mathématiques) prédirait la fin du monde pour le 21 décembre 2012, dans... 5 jours ! 
Les faits remontent à l’année 1980 où fut découverte l’inscription maya de Tortuguero (Mexique) annonçant la fin d’un cycle de 5126 ans qui, transposé dans notre calendrier grégorien, correspondrait au 21 décembre 2012. Fin d’un cycle et non fin du monde.

Le curieux de l’affaire est que cette notion de cycle était aussi connue des babyloniens, chaldéens et autres égyptiens. Voici ce qui est écrit sur le sujet, dans « A la recherche de l’Atlantide »

                                              Chapitre 11 
« ... Mais auparavant il nous faut donner quelques explications des ères zodiacales et donc de la précession des équinoxes qui les organise, n’en déplaise à nos modernes astrologues qui verront leurs repères mis à mal.
La Terre effectue plusieurs mouvements. Elle tourne sur elle-même, elle tourne autour du soleil et son axe oscille comme celui d’une toupie. Ce dernier mouvement s’appelle : libration. Cet axe agit comme un stylet qui décrirait un cercle imaginaire dans l’espace, à raison d’un degré tous les 72 ans. Le cercle est donc tracé en
:
                                      360° x 72 = 25 920 ans

Il existe par ailleurs une bande imaginaire dans laquelle se meuvent les principales planètes et le soleil, en apparence. Les astronomes nomment cette bande : plan de l’écliptique et les astrologues : bande zodiacale. Cette bande zodiacale fut divisée par les Chaldéens en 12 sections de 30° d’arc, chacune occupée d’une constellation spécifique (les poissons, le bélier, le taureau ect...).
C’est cette bande que nous voyons défiler sous nos yeux, d’Ouest en Est, effectuant sa rotation complète en une année. Or, de la même manière qu’il faut apporter une légère correction à l’année de 365 jours, ce défilement s’effectue avec une infime avance, due à ce mouvement de toupie, correspondant à un degré tous les 72 ans.
 
Une date remarquable figurait au calendrier babylonien, le 21 ou 22 mars, la fête d’Akitu, le nouvel an chaldéen. Chacun aura reconnu dans cette date l’équinoxe de printemps. Depuis le sommet de leurs ziggourats les astrologues observaient avec attention les levers du soleil sur fond de ciel nocturne s’attendant à ce que, grâce aux alignements pris les années
précédentes, il apparaisse au même endroit dans la même constellation, le taureau. Or, année après année, des écarts étaient de plus en plus manifestes. Au bout d’un peu plus de deux mille ans (exactement 2160 ans, 72 x 30) ce n’était plus la constellation du taureau qui figurait sur fond de ciel, mais celle du bélier. Il faudra attendre Hipparque (150 AJC) pour mesurer cet écart avec une bonne approximation (45 secondes d’arc par an). Les Chaldéens, grâce à leurs observations, avaient découvert la précession des équinoxes, toujours ignorée de... nos modernes astrologues qui continuent de plancher sur les signes tels qu’ils se présentaient il y a ...deux mille ans !
 
Au temps du zodiaque de Dendérah (environ 50 AJC) le lever du soleil à l’équinoxe de printemps ne s’effectuait plus dans la constellation du bélier, mais dans celle des poissons (raison pour laquelle les astrologues chrétiens avaient placé ce symbole à coté de celui de la croix). Et de fait, nous constatons que le disque solaire sur ce disque est positionné juste en dessous des... poissons. Ainsi nous pouvons tirer une autre observation, plus fondamentale. Le soleil semble bien effectuer sa course en périphérie du zodiaque de Dendérah, dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Après son passage en taureau, puis bélier, il est maintenant en poisson. Derrière lui marchent deux personnages vêtus de blanc dans lesquels on croit reconnaître le dieu Anubis (à tête de chacal) gardien des morts et des secrets, accompagné du dieu Upuaut «le guide dans l’au
delà ». Ils ont quitté le taureau et sont placés juste en dessous du bélier dont l’ère vient de s’achever. Derrière eux, sous le taureau, un vide. Puis vient un personnage en marche porteur d’insignes royaux : le pharaon. Et enfin, sur une colonne, le dieu Horus sous la forme d’un faucon. Non seulement ce dieu marque l’axe du temple mais, selon toute vraisemblance, l’ouverture des temps pharaoniques il y a 4320 ans et les trois ères qui ont suivi : 2160 ans (ère du taureau), 2160 ans (ère du bélier), la troisième venant de s’ouvrir. Et c’était, sans doute, un des messages du disque...
 
... Pour comprendre que le zodiaque effectuera un cycle complet il faut avoir été à même de constater que plus de la moitié du mouvement circulaire a été effectué, de l’ordre de 190 degrés. Soit plus de... 13000 ans d’observations. Ce qui nous renvoie à la fin du paléolithique. Nous n’avons aucun exemple d’une chaîne continue d’observations sur de telles durées. Aussi sommes nous forcés de conclure que si Hipparque a pu mesurer cet infime mouvement annuel avec une bonne approximation (45 secondes d’arc pour 50) c’est qu’il était parfaitement au fait du phénomène. Il n’en fut certainement pas l’inventeur, mais le calculateur sur une période annuelle.
 
Cette question scientifique posée reste la symbolique qui y est attachée. Et elle est tout aussi troublante. D’une part la division de cette bande en douze sections faite pour nous rappeler les douze mois de l’année,
donc un cycle complet. D’autre part les références au bestiaire terrestre pour huit d’entre elles (poisson, bélier, taureau, cancer, lion, scorpion, sagittaire, capricorne), chaque animal ayant sa symbolique, plus quatre signes divers (gémeaux, vierge, balance et verseau), dont la symbolique est encore plus explicite. Ainsi le verseau caractérise la crue ou l’inondation. Mais il faut la meilleure volonté du monde pour reconnaître chacun de ces signes dans les assemblages d’étoiles choisis. Ce n’est donc pas ces assemblages qui ont dicté ces choix, ils n’ont servi que de repères astronomiques. Mais quoi donc ?
 
Chaque section (ou signe) effectue un séjour devant le soleil levant d’équinoxe pendant 2 160 ans, avant de faire place à la suivante. Cette période est appelée « ère » et la tradition veut qu’elle corresponde au temps d’une civilisation. En Egypte l’ère du bélier (qui succéda au taureau) fut marquée par le culte du dieu Amon, représenté par un bélier. Cette ère qui débuta avec la construction des pyramides, sous l’ancien empire, s’acheva quand fut construit le temple de Dendérah et son zodiaque (50 AJC). Pour faire place à la suivante, les poissons, dont le graphisme sera repris par les premiers chrétiens qui figurèrent, à coté de la croix, deux poissons. Et en grec «poisson» s’écrit IKHTHUS avec pour premières lettres, I K, pour Iesus Khristos...
 
Aujourd’hui cette ère touche aussi à sa fin. Pour lui succéder, vers 2100, l’ère du verseau. Ce signe, on l’a vu, symbolise crues et inondations. Et on ne peut manquer de s’en étonner puisqu’on s’attend, d’ici la fin de ce siècle, à une irrésistible montée des eaux, comme lors de la fin de la dernière glaciation, en raison du réchauffement climatique. On assistera, alors, à un nouvel engloutissement de régions côtières, en général les plus riches, sur les cinq continents. L’avènement d’un monde aquatique...
 
G BOUDIN de l’ARCHE, « A la recherche de l’Atlantide », décembre 2011
 
On ne peut qu’être frappé par la concordance de cette fin de cycles prédite par deux civilisations disparues et l’avertissement des climatologues sur le réchauffement climatique. Et voici celui du grand poète :
«Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles... 
Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entier, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendu au fond inexplorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois.... Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie...»

(Paul VALERY. « La crise de l’esprit ». 1ère lettre. NRF 1919

jeudi 13 décembre 2012

DSK, UN PIEGE GROSSIER


Carol
... « Nice ass !» était l’interpellation habituelle faite aux garçons croisés dans la rue qui lui paraissaient « good- looking » ou « cute ». Et l’homme, devenu objet, n’avait plus qu’à laisser faire. Un monde à l’envers pour moi, européen. Etait-elle nymphomane ? Je ne le crois pas car cette multitude était de l’ordre du calcul des probabilités.    Elle    « essayait »    les    candidats    pour dénicher l’oiseau rare, celui qui la sortirait de sa condition. Elle crut que je serais celui là.

Ce qui me ramène à un autre aparté à propos de l’affaire du Sofitel et de DSK, victime d’une technique de « chasse » différente qui produisit le résultat que l’on connait. J’entends dire des journalistes que jamais on ne saura ce qui s’est passé dans la chambre 2806 ! Rien de moins vrai ! Pour peu que l’on soit familier de ces comportements quoi de plus aisé que de reconstituer le scénario !
Il est évident que, non seulement la femme de chambre avait accepté le rapport, mais qu’elle l’avait même provoqué pour en être grassement rétribuée, plusieurs milliers de dollars, sachant qui occupait la chambre. Et l’aisance dont elle fit preuve prouve qu’elle en était
coutumière. Et le naïf DSK, peu au fait de ces mœurs américaines a cru bon de refuser de payer se croyant intouchable. Grossière erreur de jugement qui trahit sa méconnaissance de la femme américaine.
Mais, objecterez vous, Nafissatou n’était pas américaine mais africaine ! Et que dire de tous ces indices qui accablent DSK ! Tous sauf un, passé inaperçu ! Mais ne fallait-il pas, justement, ces indices pour accabler DSK et donc les... provoquer ?
Quand à la nationalité ce sont les néophytes qui se font prosélytes ! Dans le cas d’espèce une jeune femme immigrée et ambitieuse, venue d’une société patriarcale, qui découvre et fait siennes les « dérives » d’une société « d’amazones » capables de la sortir de sa condition !

Quand à l’indice que nul n’a soulevé, le voici. Il s’agit de la confrontation physique entre lui et la femme de chambre, qu’une reconstitution aurait rendue évidente. Comment DSK, qui n’avait pu venir à bout de la frêle Tristane Banon, aurait-il pu contraindre une femme jeune, en pleine santé, mesurant 1,80 m et 80 kilos de muscles (il suffit de voir les photos) à pratiquer une fellation ??? Lui, bedonnant, de 20 ans son aîné, les muscles atrophiés d’une vie sans exercice ? Sans parler de sa virilité exposée à une mâchoire africaine ? Non, il y a là quelque chose qui cloche et que ses avocats ont négligé. Volontairement ? Où était leur intérêt .... ?
( Extrait de « La vie amoureuse de J. A. de BONICHON »)

dimanche 9 décembre 2012

AFFAIRE MITTAL ? QUE DE SOTTISES !

Monsieur MITTAL entrera dans l’histoire comme le révélateur de l’inaptitude des dirigeants politiques français, Sarkozy compris. Dans notre article précédant « le temps des sans culottes » nous dénoncions leur mollesse, et pour tout dire leur absence de « cojones ». Aujourd’hui que l’accord conclu par JM Ayrault avec le « roi de l’acier » est connu il faut bien y ajouter la sottise en plus.

Et pour commencer il fallait être singulièrement dépourvu de lucidité pour ne pas comprendre la stratégie industrielle du sieur Mittal. Racheter les aciéries des pays développés pour les fermer et ainsi faire la loi sur ces marchés développés, principaux consommateurs d’acier. Maîtriser les cours de l’acier comme l’OPEP maîtrise les cours du pétrole en ajustant la production.
Ainsi la Commission de Bruxelles, pourtant chargé de veiller à la concurrence, comme Jacques Chirac, dans l’intérêt de la sidérurgie française, auraient du faire échec à l’OPA de Mittal steel de 2006 sur Arcelor, né de la fusion des sidérurgies françaises, espagnoles et belgo- luxembourgeoises, et 1er producteur d’acier au monde.

En France, la première mise en oeuvre de cette stratégie s’appelle Gandrange, et sa seconde victime, après les ouvriers du site, Sarkozy. On pensait que l’exemple allait servir de leçon à son successeur qui déclarait sur le site voisin de Florange, le 24 février dernier, « quand une grande firme ne veut plus d’une unité de production qu’elle soit cédée à un repreneur ! ».

Mais c’est justement ce que ne veut pas le sieur Mittal, voir anéantir sa stratégie industrielle en ressuscitant la concurrence. Il s’est donc opposé à l’offre du couple « Serin et Mordachov » en mettant dans la balance l’avenir des 20 000 ouvriers du groupe en France. Et on peut lire dans l’acte de « capitulation » signé Ayrault « il est constaté par les deux parties qu’il n’y a pas de repreneur
déclaré pour le périmètre de la vente ». Comment le premier ministre a-t-il pu se laisser dicter une telle phrase ???

Face à ce chantage nos « sans culottes » Ayrault et Hollande sous le conseil des « experts »    ont    baissé    le    pantalon    en    invoquant    la    complexité    d’une nationalisation, même temporaire, qui aurait couté en plus 1 milliard d’euros. Mais quelle sottise !

Etait-il besoin de nationaliser quand l’arsenal juridique français dispose « que nul ne peut être contraint de céder sa propriété si ce n’est pour cause d’utilité publique » (article 545 du code civil) ? Le maintien de la filière sidérurgique française est-elle cause d’utilité publique ? Poser la question c’est y répondre.

Et quand à la « juste et préalable indemnité» à verser, où trouver l’argent ? Réponse : quel est la valeur d’un ensemble industriel ayant cessé toute activité ? A peine la valeur du foncier, déduction faite du coût de démolition, 1 euro symbolique. Et en outre le groupe Mittal ne doit-il pas 700 millions d’euros d’arriéré d’impôts au Trésor, masqués derrière son montage fiscal, via le Luxembourg ?

Un directeur général d’une entreprise privée ayant signé pareil « accord » aurait fait immédiatement l’objet d’une mesure de licenciement, quand au PDG il aurait été placé sous surveillance, avec un avertissement. Il est plus que temps que les Français se structurent en conseil de surveillance de leurs dirigeants !

lundi 3 décembre 2012

LE TEMPS DES « SANS CULOTTES »

Le sympathique et rougeoyant Boris Johnson, maire de Londres, a vu dans les sphères dirigeantes françaises le retour des « sans culottes ». Et, une fois n’est pas coutume, le commentateur anglais n’a pas tort ! Simplement il s’est trompé de «sans culottes». Ceux auxquels il faisait allusion étaient ceux de la révolution française, qui conquirent l’Europe. Or rien de conquérant dans nos « sans culottes » d’aujourd’hui. Et ce n’est que par l’habitude prise de baisser le pantalon que nos gouvernants se retrouvent « sans culottes ». C’était vrai de Sarkozy aussi, mais d’autres avant lui, dont un certain général confronté au FLN.
La 5ème république est bien, comme la 1ère, celle des « sans culottes », à cette différence près que les seconds donnaient la « déculottée » quand les premiers se satisfont de la recevoir.

Les premiers actes de début de quinquennat m’ont fait espérer. Six mois après j’ai le sentiment que le nouveau président n’a rien appris ni rien oublié de son prédécesseur. A quoi bon en changer alors ? Et le sympathique « ministre du redressement    productif »    risque    fort    de    finir    « ministre    improductif    du redressement ». C’est ce que j’écrivais il y a un mois ( lire « le rapport Gallois et le concert des grenouilles »), bien avant l’épisode Mittal.

Force est de constater, après cet épisode, que le « ministère improductif du redressement » est conforté. Pas du fait de son ministre qui n’en peut mais, mais de sa hiérarchie, les Hollande, Ayrault et autres Moscovici. Ils avaient, dans cette affaire, une chance inespérée de manifester, à bon compte, le retour de l’Etat sur le devant de la scène. Mais non, d’un simple rendez-vous avec le président de la République, le sieur Mittal a mis tout ce beau monde dans sa poche, comme au bon vieux temps de Sarkozy. Quelques promesses qui n’ont « engagé que ceux qui les ont reçues », comme aurait dit Charles Pasqua.

Il nous faut donc faire la liste des cocus. Elle risque d’être longue : 
-    Montebourg, qui aurait du démissionner pour marquer ses distances, 
-    Les ouvriers du groupe Mittal, qui voient confirmé que leur direction est
souveraine en France, 
-    Leurs syndicats, 
-    L’industrie lourde française qui transfert sa technologie au tiers monde
pour mieux se suicider, 
-    Les Français qui finiront tous... 
- Le Pouvoir qui, à force de reculer, expose dangereusement nos
arrières... ! 
En attendant l’improbable Bonaparte.