jeudi 13 décembre 2012

DSK, UN PIEGE GROSSIER


Carol
... « Nice ass !» était l’interpellation habituelle faite aux garçons croisés dans la rue qui lui paraissaient « good- looking » ou « cute ». Et l’homme, devenu objet, n’avait plus qu’à laisser faire. Un monde à l’envers pour moi, européen. Etait-elle nymphomane ? Je ne le crois pas car cette multitude était de l’ordre du calcul des probabilités.    Elle    « essayait »    les    candidats    pour dénicher l’oiseau rare, celui qui la sortirait de sa condition. Elle crut que je serais celui là.

Ce qui me ramène à un autre aparté à propos de l’affaire du Sofitel et de DSK, victime d’une technique de « chasse » différente qui produisit le résultat que l’on connait. J’entends dire des journalistes que jamais on ne saura ce qui s’est passé dans la chambre 2806 ! Rien de moins vrai ! Pour peu que l’on soit familier de ces comportements quoi de plus aisé que de reconstituer le scénario !
Il est évident que, non seulement la femme de chambre avait accepté le rapport, mais qu’elle l’avait même provoqué pour en être grassement rétribuée, plusieurs milliers de dollars, sachant qui occupait la chambre. Et l’aisance dont elle fit preuve prouve qu’elle en était
coutumière. Et le naïf DSK, peu au fait de ces mœurs américaines a cru bon de refuser de payer se croyant intouchable. Grossière erreur de jugement qui trahit sa méconnaissance de la femme américaine.
Mais, objecterez vous, Nafissatou n’était pas américaine mais africaine ! Et que dire de tous ces indices qui accablent DSK ! Tous sauf un, passé inaperçu ! Mais ne fallait-il pas, justement, ces indices pour accabler DSK et donc les... provoquer ?
Quand à la nationalité ce sont les néophytes qui se font prosélytes ! Dans le cas d’espèce une jeune femme immigrée et ambitieuse, venue d’une société patriarcale, qui découvre et fait siennes les « dérives » d’une société « d’amazones » capables de la sortir de sa condition !

Quand à l’indice que nul n’a soulevé, le voici. Il s’agit de la confrontation physique entre lui et la femme de chambre, qu’une reconstitution aurait rendue évidente. Comment DSK, qui n’avait pu venir à bout de la frêle Tristane Banon, aurait-il pu contraindre une femme jeune, en pleine santé, mesurant 1,80 m et 80 kilos de muscles (il suffit de voir les photos) à pratiquer une fellation ??? Lui, bedonnant, de 20 ans son aîné, les muscles atrophiés d’une vie sans exercice ? Sans parler de sa virilité exposée à une mâchoire africaine ? Non, il y a là quelque chose qui cloche et que ses avocats ont négligé. Volontairement ? Où était leur intérêt .... ?
( Extrait de « La vie amoureuse de J. A. de BONICHON »)

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