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samedi 12 avril 2014

ERRATUM DE L'OMNIBUS HEBDO DU VENDREDI 11 04 2014


ERRATUM DE L'OMNIBUS HEBDO DU VENDREDI 11 04 2014



 
            QUELLES  SONT  LES  DIVERTISSEMENTS…..                                                                 ...... PROPOSES  DANS  NOTRE   SECTEUR  SUD  EST  CE  DIMANCHE  13  AVRIL  2014 ?

      Hum !!!! Ce soleil si rayonnant nous incite à chercher un moyen de nous divertir !!! En avant sur le         web pour découvrir ce qui s’y déroule ….

Voyons...  Un défilé de voitures anciennes prestigieuses à STE MAXIME  est-ce au bord de mer ????
C’est un rassemblement destiné à faire vivre les voitures anciennes….BLA BLA BLA… pourrons-nous VRAIMENT découvrir ou redécouvrir une trentaine de véhicules prestigieux retraçant l’Histoire de l’automobile du début du XXème siècle   ?
14h30, parader en centre-ville et suivre le défilé…
commenté sur la promenade A.Simon-Lorière,  j’y songe !?


Admirer des voitures vintage au château de ste ROSELINE aux ARCS S/ARGENS , faire l’impasse du repas proposé semble inapproprié ??  Tendance ou pas ?
           
la MOTTE

LA MOTTE, « charming!!! » , ce petit village nous offre un carnaval « with » fête foraine….
Majorettes ,   Batucada ,  14 chars  et  groupes costumés  
crêpes et  barbapapa                                                                       sûrement au programme!!!
 Sinon , vers NICE, à……………… On verra ça dimanche !!!!
 Si fauconnerie, chevaliers cascadeurs, magie et illusion c’est bon pour le moral …  THE END  
M.Ch.                    






vendredi 14 mars 2014

POURQUOI LA CRISE ECONOMIQUE EST LA POUR LONGTEMPS !







 


POURQUOI LA CRISE ECONOMIQUE EST LA POUR LONGTEMPS !


 




Les idiots de tous poils qui claironnent la fin de la récession économique se fourrent le doigt dans l’oeil. Nous avons déjà expliqué quel rôle néfaste avait joué le traité de Maastricht (reconduit à Lisbonne) comme facteur déclencheur.
Comment ses artisans, croyant bien faire, avaient joué aux apprentis sorciers. Nous l’avons dit, écrit et réécrit. Il est donc inutile de continuer à jouer les « Cassandre » pour la race de sots (et leurs conseillers) qui prétendent nous gouverner depuis un bon quart de siècle. Ils n’ont pas entendu car sottise et surdité vont toujours de paire. Adressons-nous plutôt au petit nombre de ceux qui, çà et là, doutent et par conséquent réfléchissent.


 
L’enfer est pavé de bonnes intentions. La mise en oeuvre de l’euro fut une bonne intention n’eurent été les méchantes fées anti-inflationnistes que l’on chargea de veiller sur son berceau pour assurer le lange. La parcimonie monétaire qui a suivi l’introduction de l’euro a donc impacté, dans l’ordre, les Etats membres (sauf, mais provisoirement, l’Allemagne), les petites et moyennes entreprises et enfin les ménages (chômage et stagnation des revenus). Et voilà que les seuls qui paraissaient à l’abri, qui consommaient encore un peu, les retraités de plus en plus financés par l’emprunt, vont se joindre à la troupe des nécessiteux.


 
Deux informations noyées dans la masse des scandales politico-financiers qui éclosent en ce printemps 2014 sont passées inaperçues. La mensualisation, en France, des retraites complémentaires pour faire l’économie des avances trimestrielles et leur désindexation de l’inflation, c'est-à-dire leur réduction. Ces alertes, dans le monde, n’ont pas échappé au regard aigu d’un financier très averti, Warren Buffet.


 La crise des retraites par répartition est en marche, non seulement en France et en Europe, mais dans le monde entier. Il suffit d’un coup d’oeil sur les tableaux démographiques des Etats. De plus en plus de retraités financés par un nombre d‘actifs qui stagne, voire diminue. Et ce phénomène n’affecte pas que les pays dits développés. Il affecte déjà les pays émergents, dont la Chine.


 
Ainsi tout laisse à penser que la consommation, qui déjà marque le pas, ira à reculons. Dès lors la croissance fera de même et de même le chômage qui va s’inscrire comme une donnée permanente de nos économies, au taux de 20%. Un cycle économique, particulièrement vicieux, est donc en marche qui va s’auto alimenter. La spéculation financière qui le tient encore, tant bien que mal, va voir l’économie réelle se dérober sous ses pieds. Que voulez-vous qu’elle fasse à son tour ?


 
Face au tsunami économique qui se prépare à frapper la France (et les économies du monde) le pacte de responsabilité du malheureux Hollande est dérisoire, comme le furent les mesures de son prédécesseur. Malgré tout nos deux derniers présidents passeront à la postérité, à leur corps défendant, celle que figura Bruegel l’ancien dans son tableau « les aveugles ».


Ainsi même les nuls ne sont jamais totalement vains, ils servent parfois à susciter un chef d’oeuvre de l’art !


 
GBA
Le 14.03.2014


 


 
Email : correspondance@editiondelomnibus.com


www.editiondelomnibus.com

mercredi 26 février 2014

MANUEL SHIVALLS







 
              Extrait des « Contes et fables de l’Omnibus, d’hier et d’aujourd’hui »
 


SHIVALLS




 
   
Un ministre d’Aragon
à la mine avertie
tel un nouveau gascon
vint « monter » à Paris.
 
Pour y faire fortune
il n’est meilleure voie
que paraître à la une
et faire parler de soi.
 
Dans l’art de l’exercice
il avait l’excellence,
et son poste de police
lui en donnait l’aisance.
 
De l’ordre et la morale,
ses deux chefs de bataille,
tel nouveau caporal
il en fixait la taille.
 
Mais garder la mesure
il faut toujours savoir,
donc finit dans le mur
et en voici l’histoire.
 
D’un nommé Dieudonné,
oublié de beaucoup,
il fit la renommée
par fureur de ses coups.
 
Humoriste retraité
reconverti prêcheur
en paroles maltraitées,
oublieuses de malheurs.

 Il fit taire sa messe
par le Conseil d’Etat
et interdire confesse
qui est lieu du débat.
 
Mais combattre les idées
en les interdisant
n’est-ce sotte pensée
de futile courtisan ?
 
Car le bel hidalgo
était homme de cour
voulant flatter l’égo
d’un roi de basse-cour.
 
Lequel était volage,
volage mais bien pensant,
donc à son voisinage
il vaudrait son pesant.
 
Mais la maitresse du jour
qui n’était pas d’avis
que sincère fut sa cour,
causa son préavis.

Méfions nous des donzelles
qui couchent avec nos rois,
ce sont ces jouvencelles
qui nous dictent les lois.

 


GBA à la fontaine
26.02.2014


 


Email : correspondance@editiondelomnibus.com